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BossaNovaBrasil | 19 mars 2024

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Archives mensuelles: juin 2011

João Gilberto de la gloire à l'amour de l'art

9 juin 2011 | 3

A l’issue du concert du Carnegie Hall, quelques brésiliens décident de rester un peu aux Etats-Unis. Parmi eux, João Gilberto. On lui présente le saxophoniste Stan Getz, un jazzman aussi talentueux qu’avide, qui a senti venir le vent de la bossa nova et gravé l’année précédente « Jazz Samba » avec le guitariste américain Charlie Byrd. Ensemble ils enregistrent en 1963 un premier album, Getz/Gilberto.

Enorme succès. La maison de disques met le paquet, et les médias relaient massivement. En collant l’étiquette « jazz » sur la bossa nova, les producteurs trouvent un relais inespéré au jazz cubain désormais Lire l’article

João Gilberto de la révélation à la gloire

8 juin 2011 | 4

« Mes rêves les plus dingues ont pris corps quand en 59 j’ai écouté le Chega de saudade de João Gilberto », écrit Caetano Veloso dans un article récent, qui continue ainsi : « João m’a tout appris. Par dessus tout il m’a donné une idée forte du destin du Brésil ». Bigre, à ce point là ? Mais que s’est-il passé ?

Quand Tom Jobim met en musique les paroles de son aîné et déjà célèbre poète Vinicius de Moraes pour le disque d’Elizeth Cardoso Chega de Saudade, il ne s’agit encore que de samba canção. Un style hybride, un chant Lire l’article

João Gilberto, des origines à la révélation

7 juin 2011 | 6

Suite de la série consacrée à João Gilberto, « o Mito » – le mythe de la musique brésilienne. Aujourd’hui nous revenons sur les origines du musicien, et sur le chemin qui l’a amené à réinventer la samba et à fixer la bossa nova dans sa pureté stylistique.

La carrière de João Gilberto commence par un faux départ

Ce n’est pas l’ambition qui manque à João Gilberto quand il quitte Juazeiro do Norte pour Bahia, puis Rio de Janeiro en 1950. Ce qui lui fait défaut, c’est un style personnel. Ses héros s’appellent Orlando Silva, le grand compositeur Dorival Caymmi, bahianais comme lui, et… Lire l’article

Une semaine avec João Gilberto

6 juin 2011 | 7

Au Brésil, il y a la musique avant et après João Gilberto. Avant lui, Tom Jobim, Vinicius de Moraes, Johnny Alf, Dick Farney (ces derniers bien brésiliens sous leurs pseudonymes) et quelques autres, avaient mis en place certains aspects de … Lire la suite !

Aline Calixto chante Moacyr Luz

5 juin 2011 |

Aline Calixto fait partie des jeunes et grands talents de la samba carioca. Clarinettiste et guitariste, Moacyr Luz est né en 1958 et a déjà composé une bonne centaine de sambas qui sont chantées par les meilleurs.

Ecoutez Aline en … Lire la suite !

Le centre musical de Tijuca

4 juin 2011 |

Aujourd’hui, allons voir un magnifique hôtel particulier de Rio transformé en maison de la musique.

Tijuca est un vaste quartier situé dans la Zona Norte en lisière de la grande forêt de Tijuca. On y arrive en métro par la Praça Saens Peña qui constitue le terminus de la ligne 1 (orange) en attendant la livraison de la station Uruguai, prévue pour 2014 comme décidément beaucoup de choses à Rio. On y croise peu de touristes. Dans les années 90, Lire l’article

Funérailles d'un labrador

3 juin 2011 | 1

L’adaptation des chansons brésiliennes peut donner des résultats remarquables… ou lamentables. Quand le producteur Claude Carrère transforme en 1964 pour Sheila « Funeral de um lavrador » de Chico Buarque en « Oh mon dieu qu’elle est mignonne », le grotesque touche au sublime. Surtout quand la pochette du disque crédite le brésilien pour « Funérailles d’un labrador » ! (*)

Il ne faut pas avoir froid aux yeux pour faire Lire l’article

Une fille à chaque fois différente

2 juin 2011 | 1

Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre, voici l’héroïne du tube de Chico Buarque, « Essa moça e différente » dans une samba-ska, qui rassemble Banda Kalifa, son chanteur Diego Lyra et les stars du toujours aussi réjouissant BossaCucaNova.

L’aventure Banda Kalifa commence en 2005, par une bande de copains sur une plage du nord de l’état de Espirito Santo Lire l’article

Berimbau en transe à Paris

1 juin 2011 | 6

Tout argentin qu’il soit, natif de Rio de la Plata, Ramiro Musotto décide à l’âge de 18 ans de devenir « percussionniste brésilien ». Et il y est admirablement parvenu, comme va vous le prouver son solo de berimbau lors d’un concert avec Lenine à la Cité de la Musique de Paris.

Mais Ramiro ne se limite pas aux percussions. Installé à Salvador à partir de 1992, il devient Lire l’article

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