Que rapporter du Brésil ? - BossaNovaBrasil
Que rapporter de voyage pour soi et ses proches ? Du Brésil vous pourrez rapporter pas mal de choses sympas, à commencer par plein de souvenirs et un sourire imbécile qui, sauf accident, restera fixé à vos lèvres pendant une bonne semaine.
Mais aussi, et dans le désordre :
- Des hawaianas : celles avec le drapeau brésilien, 4 € sur place, 20 en Europe
- Des T-shirts – penser à les acheter au fur et à mesure, parce que l’on trouve rarement deux fois le même modèle. Ceux des marchés de nuit sont généralement de très mauvaise qualité. Les restaurants, les boîtes de nuit, les écoles de samba, les bars et les associations, ont généralement des T-shirts à vendre, que vous ne risquez pas de croiser souvent ailleurs. Attention, ça taille petit
- Des partitions, dont beaucoup sont à peu près introuvables en France – évidemment celles de Chediak
- Des bijoux fantaisie, très créatifs et très modernes
- Un drapeau brésilien à tendre au mur, nombreux formats disponibles dans les magasins de sport
- Des camisettas da Seleção
[amazon_link asins=’B00JAI4SME,B00J6WDLQI,B00GEI64CK’ template=’ProductCarousel’ store=’bossanova00-21′ marketplace=’FR’ link_id=’5e597cdd-6649-4cba-942b-75e76727d06e’]
- Le matériel des supporters de Fluminense ou de Flamengo (boutique à Copacabana, très sympa)
- Des maillots de bain, encore qu’ils ne soient pas forcément faciles à porter sur la plage de Bénodet. Prenez le shortinho en Lycra avec.
- Des antiquités néo-portugaises, que vous trouverez à Rio dans un centre commercial spécialisé, tout près du métro Siqueira Campos
- Des bijoux si vous avez touché vos stock-options (allez plutôt chez Stern ou Sauer)
- Des autocollants, dans de nombreux kiosques (adhesivos)
- Des disques (adresse) et des DVD – pour le forro, le funk et la brega, difficile d’éviter les pirates, 2€ le CD et 3 € le DVD, c’est interdit (ici) et en vente partout (là-bas). Surtout, n’en rapportez pas, naturellement.
- Le Playboy local. Il rappelle Lui des années 70 : des jolies filles sous l’angle local (bumbum first), des interviews de personnalités, des blagues pas drôles et un poster-dépliant pour les murs de la caserne.
- Un magazine hebdo comme Veja, Isto é, ou Manchete (genre Paris Match, plein de photos en période de carnaval)
- Un instrument à percussion : la rua Carioca en est pleine, vous aurez l’embarras du choix
- Pas de guitare : les différences d’hygrométrie eu Brésil à la France leur seront fatales
- De la cachaça : 2 litres de Pitu en promo perpetuelle à l’aérorport Tom Joim, avec un verre, un pilon et de jolies décos. Vous en avez bien pour deux mois de caïpirinhas
- Des graines naturelles pour faire plein de jolis colliers à offrir
- Un piranha empaillé pour prendre la poussière
- Des objets en pierre à savon si vous êtes passés par le Minas Gerais
Et du son, des sourires, des émotions, de l’amour à partager…
Commentaires récents