Mise à jour : Clube Brasil a cessé d’émettre le 1er janvier 2014. La radio ne devait son existence qu’à l’altruisme de ses fondateurs et la générosité de quelques particuliers. Mais sans modèle économique, ni soutien des autorités culturelles brésiliennes ou françaises, ses animateurs ont du se résoudre à jeter l’éponge. 

J’ai découvert tout récemment la webradio Clube Brasil. Il s’agit d’une radio on-line, animée par des français et des brésiliens, qui diffuse exclusivement ou presque de la musique brésilienne, 7 jours sur 7, 24/24. Vous pouvez l’écouter tout simplement en cliquant ici, puis passez votre souris sur le drapeau brésilien qui flotte et choisissez le débit qui va bien : hop, vous y êtes.

La programmation est très orientée MPB, samba, bossa nova, avec aussi des incursions dans le reggae, le ragga, l’axé, le hip-hop, les batucadas, l’électro, le lounge… et même un peu de funk carioca. Chaque semaine un artiste est particulièrement mis en avant (en ce moment, c’est Daniela Mercury). On y entend aussi des interviews, des concerts,  des ballades… bref, un large panorama de musiques brésiliennes pour rythmer vos soirées ou bercer vos nuits.

Bien sûr, vous pouvez écouter des radios et webradios qui émettent depuis le Brésil, mais vous remarquerez vite que leurs programmations font la part belle à la variété internationale et à la musique anglo-saxonne, contrairement à Clube Brasil, qui est délicieusement monomaniaque. Sans compter la publicité envahissante sur les ondes, et très discrète sur ClubeBrasil.

Bref, j’ai été tellement enthousiasmé par cette initiative que je n’ai pas hésité une seconde avant d’accepter de leur prêter ma plume et ma voix pour une série de chroniques sur la vie quotidienne au Brésil, les us et coutumes du pays, les lieux à connaître, et plein d’autres choses.

Vous pourrez donc dorénavant retrouver BossaNovaBrasil sur la radio Clube Brasil, juste après les flashes d’information culturelle : à 13:00 et à 19:00 les vendredis, samedis et dimanches.

C’est chaud, c’est sympa, c’est Brasil ! Bravo à Stéphane, Victor, et leur joyeuse équipe.