Luiz Bonfa Archives - Page 2 sur 2 - BossaNovaBrasil
Trois stars sur le sable
17 septembre 2009 | 1Copacabana Palace : dans ce film italo franco brésilien tourné en 1962, une comédie peuplée d’hôtesses de l’air volages et de maris jaloux, Luiz Bonfa, Tom Jobim et João Gilberto jouaient leurs propres rôles (assez succints) en compagnie de la délicieuse Mylène Demongeot et de deux autres ravissantes.
Sur la plage de Barra de Tijuca déserte, les trois compères chantent chacun un couplet de ‘Canção do Mar’, composée par Bonfà pour l’occasion. C’est bref mais c’est bon ! A noter que c’est aussi dans la BO de ce film que figure la Samba do Avião de Jobim.
La belle Mylène en a gardé un souvenir merveilleux.
Mr Samba vous dit pourquoi
25 juillet 2009 | 2J’ai trouvé sur le blog brésilien Loronix un disque de "Mr. Samba e seus Skindos Ritmicos’ dont on ne sait a priori pas grand chose. Mais le morceau "Pourquoi ?" valait à lui seul le détour. "A la question posée, … Lire la suite !
Luiz Bonfa, guitar héros de la bossa-nova
7 juillet 2009 | 1
Luiz Bonfa est un vrai guitar héros du Brésil. Des années 40 jusqu’à sa mort en 2001, il connaîtra une magnifique carrière, promenant sa voix douce et son superbe jeu de guitare.
Compositeur des tubes ‘Manhã de Carnaval’ et ‘Samba do Orfeu’ pour Vinicius de Moraes dans les années 50, il devient un acteur clé de la bossa-nova, en participant notamment au concert mythique de Carnegie Hall en 1962. Il grave avec l’inévitable Stan Getz l’album ‘Jazz Samba Encore’ et recueille de multiples Grammy Awards. Dans les années 70, il se tourne vers le jazz et enregistre de nombreux albums aux Etats-Unis. Il rentre au Brésil à la fin des années 80 et y continue d’enchaîner les succès.
Orfeu Negro, Palme d’or à Cannes
21 mai 2009 | 1
Pur carioca, né et mort à Rio de Janeiro (1913-1980), diplomate dilettante et grand buveur de whisky, le poete et écrivain Vinicius de Morães était déjà très connu au Brésil quand il rencontre Tom Jobim pour lui proposer de composer une musique de film. Il s’agissait de mettre à l’écran sa pièce Orfeu da Conceição qui faisait le plein au théâtre depuis 5 ans. Jobim était alors un jeune pianiste qui courait le cachet dans toutes les boîtes de Copacabana pour payer son loyer ; autant dire qu’il ne se fit pas beaucoup prier. Le résultat fut la musique du film Orfeu Negro de Marcel Camus, Palme d’Or à Cannes en 59 – il y a tout juste cinquante ans cette semaine -, et le prélude à une collaboration qui allait s’avérer fructueuse…
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